Représentations sur des langages de représentation/requêtes de connaissances

1. représentez (graphiquement puis en FL) les relations sous-type et exclusion
    qui existent entre RDF, RDFS, RDF/XML, RDFa, Turtle, N3, SPARQL et
    les supertypes communs de ces types;
2. expliquez pourquoi le modèle RDF est différent du modèle XML, et
    donnez un moyen de voir si un modèle/langage est plus souple et puissant qu'un autre ?

//1) solution (étendue) en FL 
//    (non sujette à interrogation dans le CC, ni le CT ni l'examen de rattrapage) :

KRL_element
  \. e{ (Language_ontology
          \. (OWL  \. (OWL-Full  part: 1..* OWL-DL)
                      (OWL-DL    part: 1..* OWL-Lite,  logic: SHOIN)
                      (OWL-Lite  part: 1..* RDFS,      logic: SHIF)
                      (OWL_2  logic: SROIQ)
             (RDFS  part of: 1..* OWL-Lite)
        )
        (Data_model \. RDF)
        (KRL_syntax \. e{ RDF/XML  RDFa  
                          (N3  part of: 0..* SPARQL)
                          (SPARQL part: 1..* Turtle)
                          (Turtle  part of:  0..* SPARQL   0..* N3)
                        } )
        (Logic \. (Description_logic
                    instance:  SROIQ  SHOIN  SHIF,
                    part of:  First-order_logic
                  ),
          instance: First-order_logic
        )
      };


//2) solution 
//   (contenu possiblement sujet à interrogation dans le CC, CT ou examen de rattrapage) :

     Le modèle de XML (ou des BdDs, ou des approches orientées objet) est un
     modèle d'arbre dont les noeuds sont implicitement reliés par des relations 
     de type "part" et peuvent être typés ou avoir des attributs. Il y a donc
     seulement 3 types de relations possibles : partie, type, attribut).
     Ainsi, le modèle de XML 
     - oblige ses utilisateurs à effectuer des choix arbitraires (e.g., 
       mettre la classe d'objet Employee dans Employer, ou inversement),
     - n'encourage pas (et donc aussi, ne force pas) la représentation
       explicite (i.e., comme des entités du 1er ordre) des relations
       entre objets; un utilisateur peut néanmmoins employer XML (ou une
       approche orientée objet) pour définir et utiliser un modèle de
       graphe, i.e., pour définir et n'utiliser que des classes d'objets
       comme Concept et Relation.
     RDF est un modèle de graphe qui permet de créer des relations typées entre
     des individus ou types de concepts. En effet, il déclare des types d'objets
     tels que "ConceptNode" et "RelationNode". 
     Ainsi, il force ses utilisateurs à les utiliser et donc à représenter
     des informations de manière plus précise et flexible qu'avec XML.
     E.g., tout autre utilisateur peut, à tout moment, ajouter de nouveaux types
     de concept/relation et les utiliser conjointement avec/sur les objets déjà
     existants; il n'y a pas de schémas de données fixe/prédéfini.

     Un modèle/langage est plus souple et puissant qu'un autre s'il inclut plus de
     composants ou si ses composants permettent de définir les composants de l'autre.